175 - Décembre 2002

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A propos des origines de la colombophilie

Il semble que ce soit dans la première moitié du XIIe siècle que les Frang (1) aient été mis en contact avec les techniques des pigeons voyageurs. Ces techniques étaient utilisées par les différents chefs arabes pour se com-muniquer des informations

Joseph Lorant

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Messe de St-Hubert au Lakisse

Dimanche 20 octobre, devant une centaine de personnes, vingt-cinq chevaux et autant dechiens, l'abbé Mas-sart, curé de Sovimont a célébré la messe de St-Hubert et a procédé à la bénédiction des animaux et du pain.

Georges Dautrive

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L'école professionnelle d'enseignement spécialisé REUMONJOIE

C'est en 1964 que fut créée à Malonne l'A.S.B.L. Saint-Jean-Baptiste de la Salle. Elle se fixa comme objectif d'accueillir des enfants et des adolescents qui avaient besoin d'un enseignement adapté en raison de leurs be-soins et de leurs possibilités pédagogiques.

Marie-Claire BARTHELEMY et Christian GYSELINX

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Relais Sacré 2002

Par un temps relativement clément, la cérémonie du relais sacré à Malonne a débuté place du Malpas, avec un léger retard, pour se diriger vers le monument aux morts, via l'Institut St-Berthuin.

Joseph Siplet

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Harmonie Royale Ouvrière

C'était ce samedi 26.10.2002 que l'Harmonie Royale Ouvrière présentait son traditionnel concert de gala.
Face à un public très nombreux dans lequel on remarquait plusieurs délégués de la Fédération Namuroise de musique, le président Charles Delmotte prit la parole pour remercier l'assemblée de sa présence.

R. Legrain

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Des crèches de Noël ou des illuminations dans les quartiers de Malonne ? A vous de jouer !

Comme l'année passée, la Confrérie de l'Aumônière de Malonne organise, ces samedi 14 et dimanche 15 dé-cembre, un Marché de Noël à l'Institut St-Berthuin

Patrick Smeets

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Sâcrè Châle, va !

Ces vendredi 8 et dimanche 10 novembre ont vu les Vrais Amis
présenter la première pièce de leur saison : Sâcrè Châle, va !

Michel Vause

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Non reçu

 

Il était une fois un camion français qui était venu charger des frites surgelées en Belgique.
Au retour, sur la route Dinant-Givet, le convoyeur s'écrie : " Hé, arrête-toi, qu'est-ce que c'est que ce truc au bord de la route ? "
Les deux hommes descendent du véhicule et découvrent un objet métallique rond. Le chauffeur s'exclame : " Oh, mais c'est un barbecue ! , le mien devient vieux, et si on le prenait ? "
Et les compères chargent l'engin dans la cabine du camion, entre les deux sièges. Peu avant la frontière, un policier fédéral leur fait signe de se garer sur le côté.
Après avoir contrôlé les papiers, le policier demande : " Tiens, qu'est-ce que vous avez mis là, entre vous deux, sur la banquette ? "
Le chauffeur, narquois, répond : " Sauf le respect que je dois à votre fonction... Chez nous en France, on appelle çà un barbecue ! ". Le convoyeur enchaîne: " Cà alors, il n'a jamais vu un barbecue ... C'est la dernière histoire belge ! "
" Ah, bon, ... lance le policier, vous appelez çà un barbecue ? "... Nous, en Belgique, on appelle cela un radar pour contrôler la vitesse, et c'est moi qui l'ai placé cet après-midi. "


Un jeune parisien un peu gauchiste est venu visiter Bruxelles. En sortant de la Grand-Place, il décide de téléphoner à sa copine et entre dans un bureau de poste : " Mademoiselle, je vous prie, comment dois-je faire pour téléphoner à Paris ? "
" Vous faites l'international ! " répond la préposée.
Après un moment de réflexion, il se met à chanter: " C'est la lutte finale... groupons-nous et demain ... L'internationale .... "

Recueilli par Jean-Claude Guyot


Ex Libris

Dieu et moi, Jacqueline Harpman, Edition : Mille et une nuits

Psychanalyste et romancière, J. Harpman met en scène dans ses livres des personnages féminins qui manifestent un désir farouche d'être soi-même et cherchent à se débarrasser de tout ce qui est conventionnel dans leurs ma-nières de vivre.
Dans le petit ouvrage dont il est question, elle imagine qu'une femme qui vient de mourir est convoquée devant un Dieu auquel elle n'a jamais cru et qui cherche à la persuader de son erreur.
Avec ce " Monsieur Dieu ", elle entreprend un dialogue qui lui permet de sortir tous les reproches qu'elle lui adresse (et qui sont ceux de toute personne qui réfléchit serait tentée d'adresser à la divinité...si elle y croit): création arbitraire, conduite irrationnelle du monde, exercice on ne peut plus autocrate du pouvoir, etc.
Tout cela, dans un style percutant, insolent, plein d'humour aussi, et qui, frisant le conte, lui permet de faire croire à l'invraisemblable.

J. Lorant