186 - Décembre 2003

Retour à la page d'accueil

 

N° 200
N° 199
N° 198
N° 197
N° 196
N° 195
N° 194
N° 193
N° 192
N° 191
N° 190
N° 189
N° 188
N° 187
N° 186
N° 185
N° 184
N° 183
N° 182
N° 181
N° 180
N° 179
N° 178
N° 177
N° 176
N° 175
N° 174
N° 173
N° 172
N° 171
N° 170
N° 169
N° 168
N° 167
N° 166
N° 165
N° 164
N° 163
N° 162
N° 161
N° 160

 

Un concert multimédia

L'H.R.O. de Malonne avait choisi la date du samedi 26 octobre pour son concert de gala de l'année.
Le fidèle public des mélomanes et supporters de l'Harmonie a répondu à l'invitation et la jolie petite salle du complexe sportif était remplie à craquer. La qualité des interprétations qui s'améliore à chaque concert y fut certes pour beaucoup. Ce fut encore le cas pour ce dernier concert, mais cette fois, il y eut un grand plus dans la présentation et la mise en scène du spectacle.

R. Legrain

suite


La guerre n'est pas un jeu d'enfants !

Comme chaque année le groupe 134 Malonne-Floreffe participera à la campagne bougies, importante action de sensibilisation en faveur des prisonniers d'opinion et la défense de Droits Humains de par le monde

Jan Van der Linden

suite


A nouveau des série B !

Des série B ? Kekseksa ? Pour faire simple, disons que ce sont des joueurs bien classés. Il y a pas mal d'années, je me souviens avoir lu un article du magazine Play Tennis, qui présentait notre club dans ses prestigieuses co-lonnes. L'article, sympa, soulignait le contraste entre le grand nombre d'affiliés et leur bas classement.

Stéphane VINCENT

suite


à la poste !

… Ou : comment le marketing ne va pas toujours au devant des besoins réels du client… ou encore : comment on peut continuer à croire en un futur meilleur même quand on est beaucoup plus près de la fin de sa vie que de son début.

Stéphane VINCENT

suite


Les 40 Molons à l'école Saint-Joseph

Ce mercredi 24 septembre, cinq " Molons ", sont venus dans notre école dans le cadre des fêtes de Wallonie car Monsieur Pierre, un instituteur, les avait invités pour répondre à nos questions et pour nous expliquer qui ils étaient et ce qu'ils faisaient. ( un des " Molons " est le " pappy " de Mathieu, un élève de deuxième année ) Nous avons appris ce que représentaient les couleurs du costume et les quatre signes du blason. Nous avons aimé leurs instruments imaginaires basés sur le mirliton et surtout lorsqu'ils ont chanté avec nous " Li Bia Bouquet ". Ce qui nous a touché c'est qu'ils essayent de récolter de l'argent pour les pauvres et qu'ils vont parler avec eux…
De plus, un des " Molons " présents a perdu son travail et sa maman est entrée à l'hôpital mais il était là avec le sourire : c'était super de sa part.
Chaque fois que nous les reverrons, nous penserons à cette rencontre ensoleillée.

Félix et la classe de 6ième.

Quelques commentaires…ce que j'ai aimé lors de la venue des " Molons " ? quand ils chantaient…quand ils expliquaient leurs instruments…le " ban molonien "…quand on posait des questions et qu'ils répondaient…leurs habits…" Li Bia Bouquet "…quand ils parlaient des pauvres…quand ils montraient " leur tirelire "…


Des enfants des deuxièmes A et B


Messe de saint Hubert

On a entendu le son du cor ce dimanche 26 octobre dans la peupleraie du Grand Lakisse. C'est ce jour-là que le bouillant comité du Grand Lakisse avait organisé la messe de saint Hubert devenue traditionnelle depuis quel-ques années.

R. Legrain

suite


La chorale du Piroy chez les Sœurs Clarisses.

La célébration du centenaire de la présence de la communauté des Sœurs Clarisses à Malonne est commencée. Pour s'associer à cet événement, la chorale du Piroy a animé l'eucharistie du samedi 8 novembre en présence de nombreux membres de la communauté.
L'accueil a privilégié la rencontre simple et chaleureuse des petits, des habitués et de ceux qui découvrent l'univers des Sœurs à l'écoute de la tradition de François et Claire d'Assise.
Des rencontres de prières et une exposition vous solliciteront encore à apprécier l'ouverture de cette commu-nauté à ceux qui cherche leur route et aux blessés de la vie qui ont besoin d'un esprit de fraternité.

Nicole Mélard


 

Présentation des équipes au BC Malonne

Gros mouvement de foule ce vendredi 24 octobre en soirée au Champ-Ha. Comme aux grandes occasions, il n'y a plus une seule place de parking à trouver.

R. Legrain

suite


Récit de balade

Ceux qui ne s'étaient pas inscrits à la balade gourmande du 26 octobre organisée par l'Ecole fondamentale Saint-Berthuin, son Association de parents, la Confrérie de l'aumônière, l'Ecole fondamentale spécialisée Reumonjoie et le partenariat de l'Ecole hôtelière provinciale ont raté quelque chose !

B. Dubois

suite


Et si l'eau m'était comptée ?

Le 21 octobre, Monsieur José Gérard, directeur du Mouvement Couple et Famille, accueillait les invités au ver-nissage-conférence de presse de l'expo-animation d'Animuse dont le siège se situe rue de Fond, 148.

Guy Bouchez

suite



C'est vî èt ça n'saît pus!

Vieillir seul est une situation que l'on ne souhaite à personne. C'est ce que pense Désiré, célibataire par con-viction, peut être aussi par manque de courage envers les femmes. Approchant la soixantaine, il pense qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire et jette son dévolu sur Suzon, la fille de sa voisine Agate.

R. Legrain

suite

 

 


EN TOUTE BONNE FOI

J'ai écrit tel article … en toute bonne foi.
J'ai fait cette remarque … j'ai réagi à telle réflexion ou situation… en toute bonne foi !

Mais, au fait, qu'est-ce que cette bonne foi ?
Ce pourrait être la qualité de celui qui parle, agit avec une intention droite, avec la conviction d'obéir à sa conscience, d'être fidèle à ses obligations … D'où des images de droiture, franchise, honnêteté, sincérité …
Ce pourrait être aussi la volonté d'aimer et de respecter la vérité. Mais ce n'est pas parce que ce que je crois est en accord avec mes pensées que c'est nécessairement une " vérité " pour les autres. Je suis sous l'influence de mes attentes, de mes besoins, de mes désirs, de tout un tissu de fond qui colore la vérité subjectivement.
Puisque l'on peut se tromper, la bonne foi consisterait à dire au moins la vérité sur ce que l'on croit. (Le contraire étant mensonge, hypocrisie, mauvaise foi …).
Malonne Première a parfois dû gérer, par son comité de lecture - qui en aucun cas n'est un comité de censure - des articles qui pouvaient mettre en cause des personnes au nom de la bonne foi.
Toutefois, il est normal -et même souhaitable - que des lecteurs de Malonne Première puissent exprimer leurs sentiments, leurs regrets, leurs plaisirs, voire leurs colères devant certains événements (on peut dénoncer des systèmes en respectant les personnes).
Nos colonnes vous sont toujours ouvertes


Guy Bouchez

 

Solution heureuse

Spontanément on prend souvent le parti du plus petit. Ceci est vrai dans le sport, dans les films ou tout autre chose. Nous supportons volontiers les petits et notre joie est grande de les voir supplanter champions et vedettes qui collectionnent déjà toutes les palmes et tous les titres.
Pourquoi ce réflexe? Je pense que c'est tout naturel, notre satisfaction est grande de voir le faible l'emporter sur le fort.
Si donc le choix du faible est déjà un réflexe naturel pour nous, il n'est pas étonnant qu'il en aille de même pour Dieu. Je dirais, cependant, que Jésus va encore bien plus loin qu'une sympathie naturelle pour ce qui est petit, mignon et gentil.
Pour lui, parmi les petits, il compte aussi le pécheur, celui qui a fait du tort, qui est tombé très bas, qui est mépri-sé, rejeté pour ce qu'il a fait. Au-delà du mal, Jésus voit d'abord une blessure. A l'origine de ce mal, il remarque d'abord la détresse, le manque, la fragilité. Jésus ne se bloque donc pas devant le pécheur, ne le renferme pas sur lui-même mais lui ouvre une porte, lui offre une occasion de se refaire, de changer de direction.
Lorsque Dieu nous voit, il regarde d'abord le cœur, il risque la confiance, sûr qu'en chacun il y a un désir de bien.
Ne sommes-nous pas tous, d'une manière ou d'une autre, les artisans du mal, que ce soit sous des formes provo-cantes ou insidieuses, conscientes ou inconscientes? Inévitablement nous sommes tous confrontés à des situa-tions de conflits, mais Jésus nous convie à croire qu'une heureuse solution est possible. Nous devons toujours tenter d'en sortir, sinon positivement du moins avec le moindre mal. Les exemples sont nombreux, mais je pense particulièrement aux couples qui se déchirent. Si vraiment, après avoir épuisé tous les moyens de réconciliation, la rupture reste la seule solution, puisse-t-elle toujours se faire dans la dignité et le respect de chacun des parte-naires.
Etre disciple de Jésus, ce n'est pas devenir parfait, tout réussir, être meilleur que les autres; c'est d'abord avoir cette disposition de cœur qui accepte les limites, les fautes et ose croire en l'amour.

G. Lamotte